Nous étions près de 1300!

Merci aux participants d’avoir été là. Quelle joie d’avoir pu se retrouver à l’écoute de l’Église persécutée. Nous avons entendu des témoignages de vie difficiles comme celui de Manga qui a vu son père assassiné sous ses yeux, ou Felipe, qui persécutait les chrétiens avant de se convertir. Mais tous nous ont encouragé. Car au sein de l’épreuve la plus dure, Dieu est présent et n’abandonne jamais ses enfants.

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Les meilleurs moments du week-end

Témoignages, rencontres, découvertes, lancement de la campagne Afghanistan, hommage à Frère André, temps avec les jeunes et les enfants… Retrouvez votre Week-End Annuel en image.

visage femme participante weekend Portes Ouvertes

«Ce week-end était un vrai retour au cœur de l’Evangile. J’ai pris conscience que nous formons tous une famille, et que nous devons prier pour nos frères et sœurs persécutés.»

Citation d’une participante 2022

Les orateurs

Cette année, les orateurs nous ont encore touchés par leur foi et leur capacité de persévérer dans un environnement hostile. Ils nous donné de nombreux exemples de l’action de Dieu dans les vies, même quand tout parait désespéré. Quand la famille en Christ est là pour soutenir les chrétiens persécutés, tout peut changer. Chacun nous a interpelé à sa manière.

Manga du Nigéria

«Boko Haram a tué mon père car il était pasteur. Ce groupe terroriste a aussi failli me tuer. Ils m’ont laissé pour mort mais je suis encore là pour témoigner de Dieu! Je ne suis pas seulement un témoin, mais je vis une deuxième vie! La situation nous dépasse mais nous savons que notre Dieu est un Dieu vivant qui peut faire basculer la situation en un clin d’œil. Et même s’il ne le faisait pas nous lui resterions fidèles. Alors continuez à prier pour nous, c’est la meilleure chose que vous puissiez faire pour le Nigéria! Nous serons tous un jour ou l’autre persécutés. Alors quand cela arrivera, seras-tu capable de remercier le Seigneur?»

Felipe  de Colombie

«Ma conversion a été comme celle de Paul. Plusieurs fois on a voulu me tuer et Dieu m’a protégé. Je suis un privilégié même si j’ai été un persécuteur de l’Église! En Colombie la persécution est si dure que la guérilla n’hésite pas à brûler les maisons, les églises et les bibles. Mais malgré tout cela, notre foi est devenue plus forte que l’or. Même si la Colombie est noyée dans le sang des chrétiens, nous persévérons.»

Élizabeth d’Égypte

«L’Église d’Égypte s’appelle « l’Église des martyrs« . Marc a lui-même évangélisé l’Égypte et il a été martyrisé. C’est pourquoi nous sommes capables de tenir bon et de pardonner à nos persécuteurs. Je voudrais que nous puissions prier ensemble pour encourager les autres chrétiens à tenir bon. Vous, vous êtes derrière nous et vous faites partie de cette nuée de témoins qui prient pour nous.»

Albert d’Inde

«En Inde, une vache a plus de valeur qu’un homme d’après l’hindouisme. Quant à la Constitution, elle garantit la liberté religieuse mais il y a des lois anti-conversion. Ce qui veut dire: « Vous êtes libres mais pas vraiment libres…«  Ce sont les enfants qui sont le plus persécutés. Ils grandissent en se disant: « Pourquoi mes parents sont persécutés?«  C’est pourquoi nous devons concentrer nos prières sur les enfants qui subissent la persécution, car ils sont l’avenir de l’Église.»

Hana du Golfe Persique

«L’histoire de l’Église en Afghanistan est une succession de miracles. Le Saint-Esprit n’a pas besoin de visa pour se rendre dans ce pays: celui qui a commencé son œuvre va la mener à son terme. Même si le dernier chrétien quittait l’Afghanistan cette nuit. Il y aurait toujours des Afghans qui rencontreraient Jésus en songe. L’horizon devant nous est triste mais derrière, il y a une lumière : celle de Jésus. Il nous fait savoir que nous ne sommes pas seuls et renverse les barrières, quand nous pensons que c’est impossible. Nous pouvons vivre cela parce vous priez pour nous.»

Evert (Portes Ouvertes International)

«Vous êtes un signe d’encouragement pour les 5 orateurs qui représentent l’Église persécutée pendant ce week-end. Quand ils vont rentrer dans leur pays ils pourront dire qu’il y avait plus de 1000 personnes qui étaient réunies pour prier pour eux. Si j’étais moi-même un habitant d’un village du Pakistan, je serais très encouragé de savoir qu’il y a des chrétiens qui prient pour moi en France, car vos prières changent aussi bien les situations que les personnes.»